Saccageons ce carnet: semaine 7

Mon saccage de la semaine va refléter mon emploi du temps.
Des journées bien remplies
auxquelles se sont ajoutées des réunions à n’en plus finir,
un beau gâteau très chronophage,
des rendez-vous divers et variés…
Et, finalement, les vacances.
Vendredi, j’ai eu le sentiment que le feu passait enfin au rouge.
Qu’il est doux de ne rien faire!

saccage ce carnet 7

Si tu en as le temps ou l’envie, poste cette semaine un petit billet intitulé
« Saccageons ce carnet: semaine 7 »
avec le logo du rendez-vous et une ou plusieurs photos de tes oeuvres.
saccageons ce carnet
N’oublie pas de me laisser un lien vers ton article en commentaire.

Timidement ou sauvagement, saccageons toutes les semaines
nos carnets et partageons nos photos!

A dimanche prochain…

26 commentaires

  1. Je viens de découvrir ton rendez-vous (grâce à Agoaye ^^). J’ai le livre, mais je n’ai pas encore commencé. J’adore l’idée de la faire ensemble, puis-je rejoindre le défi en cours ?

  2. Personnellement, je n’aime pas le mot « punition », je le trouve un peu violant pour un enfant. Ou même pour un adulte. C’est surement du à mes origines et mon vécu, car en le traduisant en Roumain, ma lingue maternelle, la résonance n’est pas la même. Et pourtant, je ne suis pas la maman la plus zen et tolérante, loin de là…
    Et du coup, je préfère ne pas l’utiliser.
    Avec le recul, je me rends compte qu’elles comprennent mieux quand c’est radical, et je m’explique :
    « Tu veux jeter les jouets ? D’accord, pas de problèmes, on va les donner aux copains et tu vas m’aider à les mettre dans le sac. Mais après, dis toi bien, qu’en auras plus et moi, j’irai plus t’en racheter. Tu es d’accord ? (et tu insistes bien, sur cette dernière phrase, même tu la répètes) En 90% des cas ça marche, il s’arrête net.

    Pareil, quand elles ne sont pas d’accord, quand elles se jettent par terre. Par exemple, quand ma grande fille se jette par terre pour X raison, je lui dis, que cela ne me gène pas au contraire, car je sais où je la retrouve à la fin de mes courses, ou de la balade… Et donc, je me baisse, je lui fais un bisou et je continue. Et dans les 30 secondes elle est derrière moi, toute souriante.
    Par contre, quand je leurs parle de punition, elles se braquent, hurlent, moi je contrôle plus mes émotions et je sors des mots que je regrette dans la seconde qui suit… Et il me faut un moment pour retrouver un climat zen et paisible.

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