N’allez pas croire que je cherche absolument à faire verser des larmes à l’excellente Ragnagna a.k.a Aki depuis hier…
Vous présenter « Love you forever » de Robert Munsch m’a fait penser à un poème que j’ai écrit alors que mon blog n’était visité que par deux ou trois curieux.
Si tu t’éveilles toujours un peu avant son cri,
Que tes bras fatigués savent la rendormir,
Que tu portes, consoles, alors presque assoupie,
Emerveillée devant son tout premier sourire,
Si tu trouves patience, quand tu l’avais perdue,
Que la maladie même, ne t’amenuise plus ,
Si faire de ton mieux, te remettre en question,
N’est jamais à tes yeux parfait et suffisant,
Si tu peux supporter d’entendre ses sanglots,
Alors que bien souvent tu ne sais pas les taire,
Que tu prends au sérieux, factices ou légendaires,
Les monstres et fantômes derrière les rideaux,
Si tu prétends aimer ce que tu n’aimais pas,
Pour pouvoir partager tous ses moments de joie,
Si tu lâches sa main pour qu’elle aille au delà,
Cachant péniblement d’un sourire l’effroi,
Si tu mesures enfin, qu’il n’y a pas plus grand,
Plus fort, plus absolu et mystérieux parfois,
Que cet amour diamant qui est né avec toi,
Tu seras une mère, ma fille.
j’aime ta plume tout simplement ❤
Que dire?.. Merci!
J’adore ce poème, il résume tout… Merci 🙂
Merci à toi!
c’est magnifique
tu as bien fait de le partager à nouveau ❤
😉
Magnifique
Merci!
On ne sait que dire après ça, alors chut… écoute, c’est beau 😉
Dire que tu avais mis un petit coeur à cet article sur Hellocoton quand je l’ai publié pour la première fois en février! Merci de suivre encore et toujours mes aventures « bloguesques »!
Encore un article de ce genre et je m’effondre en larmes! 🙂 C’est beau! Bravo!
Demain j’arrête 🙂
Ouais c’est ça tu veux m’achever avoue. Allez au bout de ses forces, et plus loin encore.
Voilà ce qui arrive quand je commence à écrire sur ma fille… Prochain billet: un saccage de carnet. Tu pourras souffler! 😉